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Quel monde merveilleux !

  • Photo du rédacteur: Constance S.
    Constance S.
  • 19 août 2020
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 31 mai 2021

Je vois les arbres se parer de vert

De belles roses en pleine éclosion

Elles ouvrent leurs corolles rouges sous nos yeux

Et je me dis tout bas quel monde merveilleux !


J’aperçois des cieux azurés et des nuées immaculées

Le lumineux jour béni et l’obscurité de la nuit sacrée

Et je pense tout bas quel monde merveilleux !


Les couleurs de l’arc-en-ciel

Si magnifiques se dessinent sur la voûte céleste

Et sur le visage des gens qui passent à côté de moi

J’aperçois au loin des amis se serrer chaleureusement la main

Se demander des nouvelles avec entrain

Avant de réaliser qu’ils s'échangent un « »je t’aime »


J’entends les pleurs des nouveau-nés

Je les imagine grandir

Ils apprendront bien plus que je n’en saurais jamais

Et je murmure tout bas quel monde merveilleux !


Crédits :

Texte original : Bob Thiele (sous le pseudo de George Douglas), George David Weiss

Producteur : Bob Thiele

Adaptation et traduction libre : Constance S.

Durée de la chanson : 2 : 21

Album : What A Wonderful world (1967)



En 1967, What a wonderful world glisse sur les ondes radio.

Composée par Bob Thiele et George David Weiss, la chanson est écrite pour le jazzman « Satchmo », plus connu sous le nom de Louis Armstrong.

Le morceau a été enregistré dans un studio à Las Vegas, alors que le chanteur est âgé de 66 ans. Si la chanson connaît un relatif succès en Grande-Bretagne, elle ne parvient pas à toucher le cœur du public aux États-Unis.

Cependant, elle connaît un regain d'intérêt lorsque Barry Levinson en fait l'une des chansons phare de son film Good morning, Vietnam, vingt ans plus tard.

Dans cette chanson, composée dans un contexte politique troublé, l'auteur s'émerveille des petites choses de la vie quotidienne qui lui semblent insignifiantes mais pourtant merveilleuses.

What a wonderful world fait l'objet de plusieurs reprises dont les plus connues sont celles d'Israel Kamakawiwo’ole et une reprise punk survitaminée de Joey Ramone.

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