Chaque fois que je me regarde dans le miroir
Tous les traits de mon visage deviennent plus marqués
Le passé a fui
Filant aussi rapidement que le crépuscule à l'aube
N'est-ce pas ainsi que chacun paie son tribut à la vie ?
Je sais que tout le monde ignore
D'où nous venons et où nous allons
Je sais que c'est le péché de tous
Il faut savoir perdre pour apprendre à gagner
J'ai passé la moitié de ma vie
À parcourir les pages écrites des livres
Tirant mes leçons des idiots et des sages
Tu sais que c'est vrai
Tout ce que tu ressens finit par te revenir
Chante avec moi, chante pour toutes ces années
Chante pour les rires et chante pour les larmes
Chante avec moi, une fois encore, aujourd'hui
Peut-être que demain, le Seigneur t'emportera avec lui
Chante avec moi, chante pour toutes ces années
Chante pour les rires et chante pour les larmes
Chante avec moi, une fois encore, aujourd'hui
Peut-être que demain, le Seigneur t'emportera avec lui
Continue de rêver, continue de rêver, continue de rêver
Jusqu'à ce que ton rêve devienne réalité
Continue de rêver, continue de rêver, continue de rêver
Jusqu'à ce que ton rêve devienne réalité
Continue de rêver, continue de rêver, continue de rêver
Chante avec moi, chante pour toutes ces années
Chante pour les rires et chante pour les larmes
Chante avec moi, une fois encore, aujourd'hui
Peut-être que demain, le Seigneur t'emportera avec lui
Chante avec moi, chante pour toutes ces années
Chante pour les rires et chante pour les larmes
Chante avec moi, une fois encore, aujourd'hui
Peut-être que demain, le Seigneur t'emportera avec lui
Crédits :
Texte original : Steven Tyler
Adaptation et traduction libre : Constance S.
Producteur : Adrian Barber
Durée de la chanson : 3 : 25 (single 1973) / 4 : 27 (version 1976)
Album : Aerosmith (1973)
Source photo : www.amazon.fr
Dream on, probablement le plus grand succès du célèbre gang de chevelus de Boston.
La chanson issue du premier album du groupe, sobrement intitulé Aerosmith, sort au début de l'été 1973.
Le leader du groupe, à l'origine du texte, met près de six ans à en écrire les paroles.
Une power ballad qui s'ouvre sur les premières notes d'un mellotron pour se finir en apothéose sous les riffs de guitare de Joe Perry et les plaintes aiguës de Steven Tyler.